Nos Chaînes Dorées
Création 2006 / Reprise de création 2009
Quatuor féminin danse contemporaine
Tout public à partir de 10 ans
Durée : 60 minutes
Conception et chorégraphie : Sara Ducat
Interprètes : Anais Barthe, Marion Castaillet, Déborah David, Marie Diarra Costumes : Atelier Redingote Décors : Rodolphe Zaï Mise en lumière : Eric Dessaint
Un quatuor féminin, à l’univers intimiste, qui explore les contraintes, l’intériorité et le cheminement de soi, avec le corps comme matière de danse.
"Jusqu’ici, tout va bien…", tels sont les premiers mots des danseuses…
"Avancer, courir, se relever, continuer...", des mots, des gestes qui subliment les contraintes…
Note d'intention :
Les préludes furent amorcés dans un petit café de Montmartre où les murs et plafonds étaient recouverts de milliers de mots déposés par des touristes de tout pays. Après de grandes minutes passées à lire ces états d’âmes je me suis très vite sentie oppressée par cette affluence d’énergies différentes tant visuelles que sensitives. S’est donc imposée à moi l’idée d’aller à la croisée des gens afin de leur faire abandonner des mots sur leurs maux, et plus particulièrement leurs contraintes. La quantité de pensées recueillies furent le ciment de la pièce. (Sara Ducat)
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Extraits de Presse :
« (…) une danse qui sait dire sans mot dire (…) une gestuelle raffinée, sensuelle et efficace, qui se fait douce ou se fait vive tour à tour selon les émotions dictées par l'âme. Et que le corps tout entier répercute, pour nous parler de cette solidarité humaine si souvent salvatrice. (…) parler avec le corps, tout le corps, nous communiquer émotions et sensations dans une grande simplicité de costumes ou rien d'inutile ne trouble l'œil. »
Valeria Potchko, Sivdomo Kiev (Hebdomadaire national Ukraine)
"Quand la chorégraphie se fait sculpture et chair - Les danseuses ont transporté la salle dans un paroxysme émotionnel, parfois au bord des larmes… Le public a suspendu son souffle pendant plus d'une heure et maintenant, il libère ses tensions dans des applaudissements sans fin... " Maïa Alonso, La Dépêche du Midi